Philippe, Le Mari Candauliste Et Olga, LÉpouse Hypersexuelle (40) : Notre Nuit De Noces (Suite Et Fin).
Par rapport aux textes que je publie habituellement sur lhistoire du couple très particulier que nous formons Philippe, le mari candauliste et moi, Olga, lhypersexuelle, ce récit pourra apparaître un peu « décalé ». Un couple qui vient de se marier et qui fait lamour ensuite jusque laube, cest banal en effet. Pourtant, nos nuits damour à Philippe et moi ne sont jamais ordinaires. Avec Philippe, nous baisons ET nous faisons lamour.
Notre histoire, cest aussi celle dun couple amoureux et finalement solide, puisque ce couple a survécu à nos « turpitudes » et quil a su rebondir quand il semblait détruit.
Je lavoue : je suis une femme comblée. Jai un mari qui mapporte tout. A la fois, la liberté sexuelle totale, avec dautres partenaires, à laquelle il mincite, prenant plaisir à être le témoin, le partenaire de mon plaisir, réalisant par-là son propre fantasme, celui du candaulisme. Mais il mapporte aussi un amour sans limites, une tendresse, une douceur dont jai aussi besoin, sans parler de ses qualités de père de famille et tout ce qui fait la beauté de son âme et tout ce que jadmire chez lui, tout ce qui fait que je suis amoureuse de cet homme et que je ne supporte pas quune autre femme prétende lapprocher.
Ce qui distingue fondamentalement la nymphomane de lhypersexuelle est que la première est en permanence en manque de rapports nombreux qui ne lui apportent dailleurs pas satisfaction. Je revendique mon hypersexualité, mais jai aussi besoin de la tendresse et de lamour dun homme dans des rapports de couple « normaux »
Avoir tout cela à la fois, est une chance exceptionnelle, que je dois à lamour sans limites de Philippe. Cest en ayant compris cela que jai finalement préféré Philippe à Hassan qui, certes était un amant bien plus performant, mais qui métouffait par une jalousie maladive et me refusait la liberté que maccordait et maccorde Philippe.
Ce récit est donc lhistoire de lune de mes plus belles nuits avec Philippe, avec bien entendu la première (voir récit n°3) où javais enfin été à lui et lui à moi, et aussi, sur un registre plus pervers, la soirée de la noce avec Hassan, lorsque je suis devenue adultère avec Philippe (récit n°34).
LA SUITE DE NOTRE NUIT DE NOCES
La première partie de notre nuit avait été candauliste (voir récit n°39) et destinée à apaiser mes envies dhypersexuelle, quand je métais offerte, en présence de Philippe, à ces deux types qui mavaient baisé comme la dernière des salopes. Javais aussi fait cela pour satisfaire le candaulisme de mon chéri.
Jétais repue, ivre de plaisir, mais javais surtout envie dautre chose. Javais envie de Philippe et je savais quil avait envie de moi.
Je commençais par le défaire de ses liens, car il avait été attaché au fauteuil pendant que les deux types me besognaient.
Je me suis mise à genoux devant Philippe. Sa bite, ses couilles, ses cuisses et son ventre étaient maculés de foutre, car, même sans pouvoir se toucher, mon mari avait éjaculé en grande quantité devant le spectacle torride que je lui avais offert. Jai soigneusement léché les traces de son plaisir, tout en lui doigtant le cul
Tu as aimé ça, mon chéri ?
Jai adoré, ça me manquait. Tu sais que tu es une femme exceptionnelle. Tu navais pas envie de continuer avec eux ?
Cest de toi dont jai envie maintenant. Hum jadore ta semence, même quand elle a séché, je ne men lasse pas.
Cochonne !
Hum je veux te la prendre en bouche, comme jaime te pomper mon amour.
Oh mon Olga, aucune femme ne taille mieux les pipes que toi. Ouiiii, gobe-moi les couilles, elles sont bien pleines, pour toi !
Ne fais pas de comparaison avec une autre femme, je ne laisserai aucune autre tapprocher. Tu es à moi, Philippe T. tu as compris ?
Oui, je suis à toi, je tappartiens, Olga T, ma femme, je suis ton esclave.
Et bien mon esclave, jai envie que tu commences par me sodomiser. Jai soigneusement nettoyé mon cul des traces de ce type et je tai réservé une petite surprise. Je veux que tu baises mon cul ! Il est à toi ! Ce type ma bien ouverte, mais je me suis spécialement préparée pour toi.
Je me retourne vivement et me penche, mettant en valeur mes belles fesses rondes. Fasciné, incrédule, Philippe regarde ce que jai dans le cul : un plug. Je lenlève doucement, révélant une ouverture secrète, rose et luisante.
Philippe lèche son index, l'enduit copieusement de salive, et le glisse juste avant que le petit trou ne se referme. Il entreprend alors de l'agrandir et l'assouplir en le massant doucement, rajoutant de son autre main un peu d'humidité. Quand il réussit à bouger son doigt tout à son aise, il le retire lentement, son sexe se tient tout proche, tendu, prêt à le remplacer aussitôt.
Hum, cest bon, tu vas bien menculer, mon chéri !
Philippe sagrippe à mes hanches, plantant profondément ses ongles dans mes chairs. La tête renversée en arrière, les paupières plissées et les lèvres serrées, Philippe lutte visiblement pour tenter de retarder un orgasme imminent. Il me sodomise avec extase, et moi, les yeux révulsés, je gémis sans retenue. Je me tords en tous sens, semble vouloir échapper à l'emprise de mon partenaire. Peine perdue, il n'y a aucune échappatoire, la poigne de Philippe me maintient fort contre lui.
Oh que cest bon. Jamais il ne ma si bien enculée ! Je laisse échapper des soupirs qui évoquent autant le plaisir que la force de la pénétration. Ma croupe ondule de façon magnifique, mais Philippe, les yeux fermés, reste entièrement concentré sur la montée de son plaisir, voulant différer encore le moment où il explosera. Je me démène tellement que je réussis à lui échapper l'espace d'un instant. Philippe grogne de frustration, et d'une main, me plaque contre lui de plus belle. Son autre main s'empare de son sexe magnifiquement dressé et l'introduit vivement entre mes fesses. Son membre s'engouffre et disparait entièrement dans mon ouverture. Je mabandonne à la force de cette étreinte, me contentant de cris aigus.
Philippe fait encore quelques vigoureux mouvements de va-et-vient, puis se met à râler.
Je me dégage promptement, furieuse, car je nai pas joui et proteste, au bord de l'hystérie.
Oh mais tu aurais pu m'attendre, monstre !
Peu rancunière, je me retourne et m'avance vers lui à genoux, chaloupant, féline et câline. Je mapproche tout près de son membre repu, qui reprend peu à peu sa modeste taille et se prépare au repos.
Philippe soupire de bonheur et s'étire, comblé.
Laisse-moi un peu de temps ma chérie, je ne peux plus rien pour toi pour l'instant...
Ah vraiment, tu crois ça ! C'est bien mal me connaître !
Sauvage et belle à damner tous les Saints, je minstalle devant lui, toujours à genoux, le regard lourd de promesses. Mes mains pressent mon ventre, mes seins, de façon plus que suggestive. Je me penche et touche du bout de la langue le sexe de Philippe qui remue, déjà prêt à se laisser relever, tant la sensation est délicieuse. Je souris malicieusement. Gourmande, je lengloutis tout entier dans ma bouche et le suce voracement.
Laisse-moi moccuper de toi, ma chérie.
Philippe me met sur le lit. Je suis sur le dos, les jambes légèrement écartées pour exhiber mon sexe de femme. Je sais que Philippe adore ce quil appelle lorigine du monde, en référence au tableau de Gustave Courbet.
Il ne se lasse jamais dadmirer mon mont de Vénus au naturel, couvert dune petite toison brune bouclée. Mes lèvres intimes entrouvertes laissent échapper une minuscule perle de liqueur. Philippe a aussitôt envie de lécher cette goutte et d'enfouir sa langue partout à la recherche d'autres saveurs. Il s'approche et respire mon parfum de femme. N'en pouvant plus, enivré à nouveau, il approche sa bouche et la pose sur la tendre ouverture.
Tremblant de désir, il pose ses mains sur mes cuisses pour les ouvrir et mieux positionner sa tête.
Il poursuit de plus belle, guidé par mes mouvements et les gémissements que je laisse échapper.
Oh Philippe, que cest bon, comme tu aimes ma chatte, comme tu me lèches bien. Ouiiii
Je me tends soudain comme un arc et pousse des cris de plaisir. Un mélange de joie pure, d'étonnement, de rire étouffé, de jouissance extrême. Je vois combien Philippe est heureux de lorgasme quil ma donné.
Après l'orgasme, mes jambes se referment toutes seules, telles des ailes de papillon. Philippe sourit et secoue la tête. Fou de désir, il appuie avec douceur sur mes cuisses pour les rouvrir, et se faufile entre elles, avant de se poser sur mon corps.
Oh, oui, Philippe, mon amour prends-moi, baises-moi !
Son sexe s'anime et trouve tout de suite son chemin dans mon humidité chaude. Je gémis de désir, je bouge pour mieux l'attirer en moi et referme mes bras sur son dos, le serrant fort, accompagnant ses mouvements. Pendant une bonne partie de la nuit, Philippe me fit lamour longuement, me faisant enchainer les orgasmes avant de se répandre au fond de mon vagin.
Le lendemain, nous nous réveillons enlacés, heureux.
Bonjour Basilissa Moy. Comment vas-tu ?
Bonjour mon bébé. Heureuse, tout simplement. Grâce à toi. Je taime, Philippe.
Vraiment ? Moi aussi je taime, mon Olga.
Cétait merveilleux hier soir. Tu mas épuisée, tu sais. Jamais tu ne mavais autant donné de plaisir. Tu es sûr que tu étais tout seul à toccuper de moi ?
Oui et je navais pas envie darrêter. Dailleurs jai encore envie de toi !
Tu es insatiable.
Dis-moi la vérité, Olga. Par rapport à ces deux types qui étaient de vrais étalons, je ne tai pas trop déçu ?
Ne dis pas de bêtises. Viens plus près de moi, mets ta tête sur mon épaule, mon bébé. Embrasse-moi ! Tu sais, jai besoin des deux. Que toi, tu me fasses lamour. Et que dautres me baisent, mais en ta présence, car jai besoin de ton accord, de ton regard, de ta complicité. Tu es toujours daccord pour quon continue comme ça ? Ce fameux pacte candauliste que tu mas proposé pour que je redevienne Madame T.
Plus que jamais, mon amour. Souviens-toi que cest moi qui tai poussé à assumer ton hypersexualité. Et que jadore te voir être aussi salope quand tu toffres à dautres.
Cest vrai que pendant des années, je ne voulais pas, tu ménervais beaucoup de me pousser à me comporter comme une salope, ça me faisait honte. Maintenant je sais que tu voulais que je sois heureuse et que jai le maximum de plaisir. Et au final, notre amour est encore plus fort.
Le plaisir est dans ta nature, Olga. Si je pouvais, je ferai en sorte que tu passes tes journées à te faire baiser. Jamais, je naurais légoïsme de réserver pour moi de tels trésors.
Si dautres ont aussi mon corps, toi, tu es le seul qui a mon cur, Philippe T., mon mari.
Nous nous regardons longtemps, les yeux dans les yeux, terrassés par un coup de foudre, aussi fort et sans doute davantage que la première fois où nous avons fait lamour, 14 ans auparavant. Cette nuit a été unique, merveilleuse.
Philippe me prend tendrement dans ses bras, caresse mes seins, avant dinsinuer un doigt léger dans mon intimité toute humide encore de leur nuit. Nous refaisons l'amour avec passion et tendresse, avant que la faim ne nous force à quitter le lit pour préparer notre petit déjeuner, tout gazouillants et gorgés d'amour.
Philippe picore des bisous dans mon cou et me chuchote des compliments, me faisant rire de joie.
Ses yeux sont emplis d'amour et d'espoir, son sourire est irrésistible. Philippe est mon chevalier servant, il ma si merveilleusement aimée pendant cette nuit de noces si particulière, où nous avons enchaînés le candaulisme et lamour conjugal. Quel drôle de couple que le nôtre, mais qui est heureux, qui saime et a su trouver son équilibre.
Cest de cela dont je vais parler dans mes prochains récits.
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